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domingo, julho 08, 2007

IBUFO, O SIMPLEX PARA CHIBOS XUXAS

É a euforia na web e nas hostes governamentais.
O IBUFO também funciona no sistema Windows e na imitação pacóvia do Tiger o Vista ( curta!!!). A funcionalidade "drag and drop" passará a designar-se:
" escuta e bufa".

5 comentários:

  1. Ouvi dizer que este Ibufo vai ter como wallpaper um diploma em engenharia assinado ao domingo. Foi o melhor que a apple conseguiu arranjar para fazer concorrência às paisagens da microsoft.

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  2. Mais uma "bufada":

    "...
    Os cargos de confiança política também podem ser de confiança pai lítica

    Filho de Santana nomeado pelo PSD para o Parlamento, na edição do DN On-line, do último sábado.
    Embirro, há vários anos, digo mesmo, não posso com Santana Lopes. É um direito que me assiste na mesma linha dos que com eles simpatizam.

    Mas, como primo pela objectividade e pela justeza em todos os meus actos, não compreendo esta notícia.
    Ou melhor, não compreendo a lógica por que outras situações iguais não são "tão" notícia.
    E das outras eu soube por aqueles e-mails subversivos que os amigos nos mandam, com os despachos digitalizados e tudo, não me constando terem sido notícias nos jornais.

    E o filho deste político está lá apenas há uns meses e até agora “pago por mim”, ou seja, por ele, o pai. Mas, daqui para a frente, por nós todos.
    Que eu saiba, os outros já lá estão, ou estiveram, há muito mais tempo.

    Num comentário que fiz no Cinco Dias disse que “… não tenhamos ilusões, que até um simples contínuo ou motorista, quando “nomeado” para certos lugares, a “confiança política” tem que lá estar...”.

    De facto, os jornalistas não são suficientemente isentos nestas notícias.
    Quanto aos políticos, já nem sei que diga. Se bem que na lei nada proíba nomeações políticas.

    Agora, uma coisa se torna evidente, é que os cargos de confiança política também podem ser de confiança pai lítica.
    ..."

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  3. fora de horas,mesmo a tempo: ALUGO O MEU CORPO uma mega operação mediática e editorial para salvar a D Quixote da falência ? na hora da sua compra por uma multinacional ? A brasileira alugou a ideia e resultou, neste país de crédulos a perder de vista. E não foi afinal por engano que descobrimos o Brasil ?

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  4. Num blogue de fotógrafo ( seja de imprensa ou de casamentos ) raramente se dá conta de efemérides relacionadas com a arte.
    Ora aqui vai notícia da expo em Paris até 16/9/07 e uma grande exposição homenageando esse comuna iluminado e com olho de platina que deu pelo nome Alexandr Rodtchenko fotógrafo emérito inventor de imagens e distinto artista gráfico edirector de arte, suivi de uma bio em franciú só para quem sabe o linguajar de Astérix,Tintin et autres:
    "En 1923, Mikhail Kaufman, frère du cinéaste Dziga Vertov, photographie Alexandre Rodtchenko. Casquette bouse de vache, pipe au bord des lèvres, sourire avenant, faisant mine de regarder ailleurs, et surtout habillé d’une vareuse dont la légende d’époque dit qu’elle est « un costume de travail» Mon œil! Sauf à supposer que le prolétaire soviétique portait une telle sophistication de drap surpiqué, avec rehauts de cuir aux poignets, col et boutonnières. Ce « vêtement de travail» devait être le prototype d’une de ces tenues « authentiquement soviétiques» créées à partir de 1916 par Rodtchenko, sa femme Varvara et la peintre styliste cubiste Lioubov Popova.
    Casquette. Ce portrait est accroché au début de l’exposition du musée d’Art moderne de la ville de Paris. Juste avant de quitter les lieux, un autre portrait nous attend, pris en 1947 par le photographe Vadim Kouriguine. Rodtchenko ne porte plus aucun «vêtement de travail» mais une gabardine fatiguée. Un appareil pend à son cou (Leica ?). Le sourire est toujours là, mais las, comme s’il murmurait : j’en ai tant vu, trop regardé. Ce portrait est triste. Vladimir Rodtchenko décédera neuf ans plus tard.
    Ce qui perdure, d’un portrait à l’autre, c’est la casquette, pas forcement la même, mais à coup sûr du même modèle. La casquette éternelle de Rodtchenko est à la fois l’accessoire d’une résistance, la trace d’une illusion et sans doute, un signe de fidélité. On la soulève pour dire bonjour, ou adieu.
    L’exposition est intelligemment dans ce va-et-vient entre trouvailles, retrouvailles et désillusions. Forte de centaines de photos, collages, peintures, photomontages, affiches, couvertures de magazines ou de romans (souvent inédits), elle donne à voir dans son contexte historique comment un mouvement artistique «révolutionnaire» porte sa propre répression. Il suffit de lire les oukases de Rodtchenko et sa bande d’amis bohèmes (et non des moindres : Kouletchov, Maikovski, Malevitch, Taline, Prokofiev, Lili Brik.) qui se démènent à Moscou dans les premiers temps de la révolution d’Octobre. « Assez de figuration, il est temps de construire !», dit l’un. « Qu’est-ce que c’est que ces poules mouillées ? On s’attendrit ! Place à la terreur ! A coup de bottes !», dit l’autre. Et tous en chœur: « Hardis camarades, aux armes !».
    Déconstruire l’ancien monde pour en construire un nouveau, ce qu’on appela le constructivisme « qui n’embellit pas la vie mais la construit.» Tout un programme joyeusement foutraque, que Rodtchenko après abandon de la peinture (« la photo va renvoyer Rubens aux oubliettes») met en pratique dans ses photos décalées, décadrées, basculées. Il écrit : « L’art du futur ne sera pas l’agréable ornement des appartements et des demeures familiales. Il sera aussi nécessaire que les gratte-ciel de quarante-huit étages [sic], que les ponts grandioses, que la télégraphie sans fil, que l’aéronautique, que les sous-marins. Construction, techniques et mathématiques : voilà les frères de l’art contemporain.»
    Facéties. Quelle fièvre, quelle foi. Et les preuves sont là, en images sidérantes qui traquent la géométrie dans la moindre banalité (les planches d’une menuiserie, les poutrelles d’un pylône électrique), voire l’abstraction dans les objets les plus familiers : carafe, verre d’eau, rouages de machines, copeaux d’acier. Les années 20 passent, le style de Rodtchenko s’emballe : photomontages, collages et autres facéties typographiques. C’est Maiakovski qui pour son recueil de poèmes Pro Eto (A propos) lui commande des illustrations. Résultat secouant : en couverture, le visage halluciné de Lili Brik (maîtresse de Maiakovski), surmonté de caractères cyrilliques qui semblent surgir du cerveau.
    Magazines, publicités, affiches, d’autres bricolages suivront et c’est un des bénéfices de l’exposition qu’on puisse voir les originaux de ces folles expérimentations. Tous les directeurs artistiques, tous les photographes qui se vivent en artistes, devraient se payer la visite. Car Rodtchenko, le plus souvent en coproduction avec sa femme Varvara, a tout inventé, tout tenté. Et il n’était pas le dernier à tailler dans ses propres images pour les détourer, les découper, les réduire, leur faisant subir ce qu’e l’on considérerait aujourd’hui comme un outrage.
    In vivo, le rapport se fait entre ses magnifiques tirages originaux et la réalité de ce qu’ils devenaient une fois insérés dans tel magazine ou affiche. Le célèbre portrait de sa mère, recyclé maintes fois dans des versions fort peu filiales, la Varvara à la clope qui sert beaucoup dans des découpages, ou ses non moins fameux très gros plans de prolétaires, que l’on retrouve inversés, ou publiés en négatif.
    Propagande. On voit au fil de cette présentation heureusement chronologique, que l’ardeur du zigue se calme dès lors que Staline règne et qu’en 1934, Jdanov met à l’ordre du jour la terreur du réalisme socialiste. Les photographies assagies de cette période montrent que Rodtchenko courbe l’échine jusqu’à déclarer vouloir « se guérir de la photo d’art, de l’esthétisme, de l’abstraction ». De fait, il travaille pour la propagande : exploit ferroviaire, expédition polaire, Armée rouge. Mais à bien scruter son reportage sur la construction du canal sur la mer Blanche, fleuron stalinien de la «réhabilitation par le travail» dont on estime qu’elle a coûté la vie à cent mille détenuspolitiques, on voit que sur ses photos du chantier-charnier, il n’y a pas âme qui vive.
    Idempour ses nombreux comptes rendus de défilés sur la place Rouge, où les « sportifs du peuple» tête tondue, pieds nus et short de misère, ne donnent pas vraiment dans l’iconographie officielle. Il n’empêche que Rodtchenko restera un privilégié du régime, ce qui comportait sa part de lâcheté, de trahison et de peur. Ses ultimes travaux s’en ressentent. Avec un cas magnifique de rechute en 1941 quand le magazine l’URSS en construction lui commande un reportage sur le cirque. De nouveau, c’est une folie de lettrines baladeuses , d’images chahutées.
    L’exposition est sous-titrée la révolution dans l’œil. Bien vu. Dans celui de Rodtchenko, elle fut à la fois une paille d’or et une poutre aveuglante."

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  5. e agora vejam lá como o critico de arte do jornal Libération não perdoa nem ao cadáver do Roddie...

    Em França apesar da crise ainfda há quem não seja parolo de todo.

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